1. Retour accueil
  2. /
  3. Presse
  4. /
  5. Ils ont dit Non !

Presse : Ils ont dit : NON !

Création au Théâtre Silvia Monfort de Saint-Brice-sous-Forêt en hommage à Silvia Monfort, résistante.

Consacré à la Résistance et à la Déportation, ce spectacle a été conçu par Danielle NETTER et Denis DANIEL, et mis en scène par Jacques LEGRÉ, dans des décors de Camillo OSOROVITZ. Composé à l’aide de textes poétiques et de témoignages sur cette époque glorieuse et tragique de notre histoire, il comporte aussi un court extrait du premier roman de Silvia MONFORT intitulé Il ne m’arrivera rien (Editions Fontaine).

Cet ouvrage est la transposition de son expérience de la Résistance dans la plaine de Beauce, aux côtés de Maurice Clavel, dont l’épilogue fut la libération de Chartres le 15 août 1944. Silvia Monfort avait 20 ans lorsqu’elle s’engagea dans ce combat. Sur la grand-place de la ville, le général de Gaulle remit au couple la Croix de Guerre, et le général Patton la Brown Star Medal. Sur cette période de sa vie, Silvia Monfort fut toujours d’une rare discrétion.

Spectacle actuellement interprété par Jean-François GARREAUD et Danielle NETTER, mise en scène de Danielle NETTER.

L’Est-Eclair : Hommage à Silvia Monfort, hommage à la Résistance, hommage à toutes les résistances. Danielle NETTER, une amie de Silvia MONFORT, avait choisi le théâtre de Saint-Brice pour la première de ce spectacle. Spectacle grave où deux comédiens de talent, Danielle NETTER et Denis DANIEL, donnent vie à des textes connus ou moins connus, mais adroitement reliés, et enracinés dans le contexte historique de la France de la seconde guerre mondiale.

Liberté, fraternité, espérance… et courage, mais aussi horreur, souffrance et peur, c’est tout le poids d’humanité qu’ont éprouvé ensemble spectateurs et comédiens, en ce temps de mémoire ; ils ont tenu un instant la plume du poète : « j’écris ton nom, Liberté. »

L’Echo le régional d’Enghien-Montmorency : Un hommage bouleversant.

Actualité juive : Autant de cris de révolte, d’insoumission, et de résistance à l’occupation nazie. Une véritable initiative qui ne peut que toucher un public de jeunes lycéens – entre autres – afin de préserver la mémoire de ce qui fut la plus grande tragédie humaine. (Michèle Lévy-Taïeb)

Le Perche : Des bottes. Des verrous sont ouverts. Le résistant est jeté dans sa cellule. Il revient d’un interrogatoire. « Pourquoi as-tu fait de la résistance? – C’était la seule chose à faire. »

« Ç’est prenant », « ça prend aux tripes », il ne faut pas oublier », « mon cousin a été déporté »… Les réactions n’ont pas manqué lors de la rencontre avec les acteurs. « Ils ont dit: Non! » Le public a dit oui.